THE CALLER

 

GENRE : Call me

REALISATEUR : Matthew Parkhill

ANNEE : 2011

PAYS : UK/Porto-Rico

BUDGET : ?

ACTEURS PRINCIPAUX : Rachelle Lefevre, Stephen Moyer, Lorna Raver...

  

RESUME : Fraîchement divorcée, Mary Kee est harcelée de coups de téléphone sinistres émanant d’une femme mystérieuse. Quand sa correspondante lui révèle qu’elle l’appelle du passé, Mary décide de rompre le contact. Mais celle qui téléphone déteste être ainsi ignorée…

 

MON HUMBLE AVIS : 

Pour une fois qu’un film porto-ricain débarque dans ma télé, il ne faut pas s’en priver, surtout qu’au final, le métrage est somme toute de qualité, surtout de par son histoire pour le moins originale.

On comprend très vite de quoi il s’agit même si le film a du mal à démarrer et nous gratifie de scènes assez indigentes, dont une scène d’amour avec musique sirupeuse qui n’apporte rien.

Néanmoins, par la suite, la bande se débride et profite pleinement de son côté fantastique avec apparition de silhouettes dignes d’un horror-movie asiatique et rebondissements spectaculaires.

Ce dialogue entre présent et passé a déjà été traité au cinéma, notamment dans le sympathique Fréquence interdite de Gregory Hoblit.

The Caller n’est donc pas exempt de scories, mais se laisse suivre agréablement surtout dans sa deuxième partie où la femme du passé réserve à l’héroïne du présent des surprises pour le moins gratinées, jusqu’à un final pas totalement maîtrisé, avec une apparition pas très compréhensible.

  

NOTE : 3+ / 6